Vous trouverez toujours une bonne occasion de faire du cheval. Par exemple vous pourrez vous essayer à épater la galerie en domptant un fougueux étalon encore sauvage. "Jusqu'ici tout va bien, jusqu'ici tout va bien, jusqu'ici..., mais l'important c'est pas la chute, c'est l'atterrissage".
Bon, en réalité les chevaux que vous monterez en Mongolie sont dans l'ensemble plutôt de bonne composition. A quelques exceptions près, version Rossinante ou au contraire ne connaissant qu'une allure : à donf.
Quelques règles sont à connaître avant d'enfourcher Jolly Jumper :
- toujours monter du côté gauche ;
- ne jamais faire autre chose
de ses mains que tenir les rênes, par exemple enfiler un K-way, prendre une photo etc. etc., au risque de se retrouver soudainement à terre;
- prévoir des guêtres ou autre elastoplast, les selles et les étriers mongols convenant apparemment peu à la majorité des cavaliers occidentaux.
Vous êtes maintenant prêt à susurrer "Tchô" à l'oreille de votre monture [parfois à plusieurs reprises et de plus en plus fort] pour galoper gaiement.
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